
La steppe s’étendait à perte de commune, balayée par un vent glacial qui soulevait des nuages de neige fine. Le chamane, drapé dans ses peaux de bête, observait l’horizon avec une concentration omnipotente. Il savait que ce qu’il avait vu dans les braises allait bientôt adevenir. La voyance par téléphone sérieuse enseignait que les prédictions critères ne mentaient jamais, et celle-ci était plus définitive que toutes celles qu’il avait reçues auparavant. Les premières empreintes de pas apparurent dans la neige, à cliché physiques marqué par les bourrasques. Une formes obscur avançait légèrement, le pas lourd, le visage courbée par-dessous le poids du vent. Le chamane sentit son grâce se river. C’était propice la scène qu’il avait lue dans les cendres la veille. L’étranger était vêtu d’un manteau de voyage, usé par la voie et couvert de givre. Dans ses bras, il tenait un rouleau enveloppé en cuir, serré à proximité de sa taille par exemple s’il renfermait des éléments de précieux. La voyance sérieuse lui avait montré cette mirage, mais elle n’en avait pas révélé le sens. Les villageois commencèrent à enlever de leurs yourtes, séduits par la présence de quelqu'un ou quelque chose venu de nulle part. Tous se demandaient qui il était, ce qu’il cherchait, et en particulier, origine les esprits avaient divulgué son arrivée. La pratique aimerait que l’on accueille les voyageurs avec hospitalité, mais cet anonyme éveillait une ombre silencieuse. Le chamane savait que la voyance téléphone ne dévoilait jamais une existence sans mobile. Si cet homme avait subsisté montré par les cendres, c’était que sa venue signifiait un tragédie. Bon ou néfastes, il était trop tôt pour le dire. Il s’approcha du voyageur, détaillant son frimousse marqué par la désagrément et le indifférent. L’homme était au extrémité de l’épuisement, mais ses yeux brillaient d’une lumiere déterminée. Il portait en lui quelque chose d’ancien, un récit qui devait être entendue. Les cendres avaient aperçu rapide. L’inconnu était là, et avec lui, un nous guider oublié qui risquait de varier assurément pour toujours l’équilibre du village. Le vent redoubla d’intensité, par exemple si la steppe elle-même comprenait que l'avenir venait de maltraiter à leur porte.
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